Selon Jean Luc Melenchon:
L’élection de
Jorge Mario Berloglio comme nouveau pape n’est pas une bonne nouvelle
pour les progressistes du monde chrétien ni pour la révolution citoyenne
en Amérique du sud.
Silencieux sous la dictature militaire
puis à l’heure des jugements des militaires criminels, opposant connu
aux gouvernements argentins de Nestor puis de Christina Kirschner,
tendre pour l’Opus Dei, hostile aux
prêtres progressistes, le nouveau chef de l’église catholique devra
prouver qu’il n’a pas été élu pour déstabiliser les régimes
progressistes de l’Amérique latine ni pour poursuivre les persécutions
contre la théologie de la libération.
Compte tenu de
l’affichage favorable aux pauvres, il faut espérer qu’il soit plutôt
enclin à aider ceux qui en sont actuellement les porte-paroles en
politique et dans le christianisme amérindien.
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