Les
autorités compétentes avaient interdit l’exploitation des mines de
sable de Laboule 12 et avaient même procédé à la fermeture des carrières
de sable dans cette zone. Pourtant, des particuliers continuent de
creuser ces mines au mépris de cette décision d’Etat,.
Jugées dangereuses, suite au séisme du 12
janvier 2010, le ministère des Travaux publics, Transports et
Communications (MTPTC) et le Bureau des mines et de l'Energie avaient
procédé le 12 février 2010, à la fermeture des carrières de sable de
Laboule 12.
Des sanctions avaient même été prévues contre tous les contrevenants à la décision gouvernementale.
Malgré tout, des camions et des travailleurs s’activent encore et, de
façon quotidienne, à l’exploitation de ces mines, avons-nous constaté ce
lundi.
Un peu plus loin, dans une localité dénommée Grenier,
une nouvelle mine faisant déjà l’objet d’exploitation clandestine est
remarquée. Des hommes munis de pelles et de poinçons sont au boulot à
longueur de journée dans cette mine.
Interrogés à ce sujet,
certains citoyens du quartier ont expliqué que l’exploitation de cette
nouvelle mine a bénéficié le support de la famille Sampeur, propriétaire
d’une parcelle de terre exploitée.
Richard Barbot,
propriétaire d’un terrain dans la localité de Grenier depuis 1980, a
fait savoir que des gens s’approprient illégalement d'une partie de sa
propriété à des fins d’exploitation. Ce dernier a indiqué avoir fait des
démarches en vain auprès des autorités concernées afin de stopper
l’exploitation de la mine.
, témoigne Barbot artiste peintre et musicien. Demandes
En se prononçant sur les démarches de M. Barbot tentant de faire
stopper l’exploitation de la mine de sable, les travailleurs se sont
montrés quelque peu offusqués. Selon eux, le propriétaire, à savoir la
famille Sampeur, a le droit de faire ce qu’il veut de son terrain.
Ils ont même proféré des menaces à tous ceux qui voudraient s’opposer à
l’exploitation de la mine qui, disent-ils, constitue l’unique endroit
où ils peuvent gagner un pain quotidien.
Malgré tout, des camions et des travailleurs s’activent encore et, de façon quotidienne, à l’exploitation de ces mines, avons-nous constaté ce lundi.
Un peu plus loin, dans une localité dénommée Grenier, une nouvelle mine faisant déjà l’objet d’exploitation clandestine est remarquée. Des hommes munis de pelles et de poinçons sont au boulot à longueur de journée dans cette mine.
Interrogés à ce sujet, certains citoyens du quartier ont expliqué que l’exploitation de cette nouvelle mine a bénéficié le support de la famille Sampeur, propriétaire d’une parcelle de terre exploitée.
Richard Barbot, propriétaire d’un terrain dans la localité de Grenier depuis 1980, a fait savoir que des gens s’approprient illégalement d'une partie de sa propriété à des fins d’exploitation. Ce dernier a indiqué avoir fait des démarches en vain auprès des autorités concernées afin de stopper l’exploitation de la mine.
, témoigne Barbot artiste peintre et musicien. Demandes
En se prononçant sur les démarches de M. Barbot tentant de faire stopper l’exploitation de la mine de sable, les travailleurs se sont montrés quelque peu offusqués. Selon eux, le propriétaire, à savoir la famille Sampeur, a le droit de faire ce qu’il veut de son terrain.
Ils ont même proféré des menaces à tous ceux qui voudraient s’opposer à l’exploitation de la mine qui, disent-ils, constitue l’unique endroit où ils peuvent gagner un pain quotidien.
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