Notre pays est en danger, les fondements de notre société sont rongés
par une médiocrité écrasante. Cette médiocrité menace notre avenir en
tant que nation et peuple réuni sous la bannière de la démocratie.
Le comportement de certains responsables montre une course à l'argent, où le futur qui nous est promis se décline en un avenir en catastrophes.
.... Ces tâches sont nombreuses et difficiles: résoudre les problèmes de l'environnement liés à une population en constante augmentation, et en créer de nouvelles pour remédier à la pauvreté, la famine, la maladie, et réduire l'impact des catastrophes naturelles, et donner à tous les individus, peuples de ce monde les moyens de vivre décemment, de réaliser leurs aspirations avec une part de rêve et de bonheur.
L'éducation permet à l'individu de s'ouvrir au monde et de faire disparaître des inégalités, les injustices.
C'est un devoir social, que la Nation doit à son peuple pour voir enfin se réaliser l'intégration sans brutalité. Tout cela prend du temps, mais la survie de la civilisation dépend de l'apprentissage de la socialisation et des valeurs qui en découlent. L'éducation doit vivre avec la philosophie de son temps, le foisonnement des idées, plutôt que la pensée unique; la créativité plutôt que la passivité.
La grande affaire, c'est bien de voir le but à atteindre: former des citoyens. Ce n'est pas du goût de tout le monde, et j'entends ici m'engager plus dans la critique que la polémique.
La véritable crise de l'éducation, c'est son autosuffisance de choix politique de nos gouvernants. Ce qui manque à l'individu, c'est un modèle de société.
L'homme, le citoyen, est en droit d'attendre de nos démocraties, ce qu'on veut faire avec lui et pour lui, et à lui expliquer franchement, complètement ce qu'on croit être le vrai et le juste. A chaque génération... une tâche!
Il faut que l'éducation soit le lustre et le rayonnement de la Nation.....
Le comportement de certains responsables montre une course à l'argent, où le futur qui nous est promis se décline en un avenir en catastrophes.
.... Ces tâches sont nombreuses et difficiles: résoudre les problèmes de l'environnement liés à une population en constante augmentation, et en créer de nouvelles pour remédier à la pauvreté, la famine, la maladie, et réduire l'impact des catastrophes naturelles, et donner à tous les individus, peuples de ce monde les moyens de vivre décemment, de réaliser leurs aspirations avec une part de rêve et de bonheur.
L'éducation permet à l'individu de s'ouvrir au monde et de faire disparaître des inégalités, les injustices.
C'est un devoir social, que la Nation doit à son peuple pour voir enfin se réaliser l'intégration sans brutalité. Tout cela prend du temps, mais la survie de la civilisation dépend de l'apprentissage de la socialisation et des valeurs qui en découlent. L'éducation doit vivre avec la philosophie de son temps, le foisonnement des idées, plutôt que la pensée unique; la créativité plutôt que la passivité.
La grande affaire, c'est bien de voir le but à atteindre: former des citoyens. Ce n'est pas du goût de tout le monde, et j'entends ici m'engager plus dans la critique que la polémique.
La véritable crise de l'éducation, c'est son autosuffisance de choix politique de nos gouvernants. Ce qui manque à l'individu, c'est un modèle de société.
L'homme, le citoyen, est en droit d'attendre de nos démocraties, ce qu'on veut faire avec lui et pour lui, et à lui expliquer franchement, complètement ce qu'on croit être le vrai et le juste. A chaque génération... une tâche!
Il faut que l'éducation soit le lustre et le rayonnement de la Nation.....
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